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L'ATELIER DES DEUX SAINTS JEAN, LES JANINS 45220 (LOIRET) MELLEROY - FRANCE - TEL : 02 38 95 39 43 Accueil - L'Icône : une discipline spirituelle - Les Icônes - cours et stages d'iconographie - Réflexion sur l'art - Expositions - Traité de peinture - Scénographie - Affiches de théâtre - Peintures - Graphisme - Illustrations |
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Nous débutons intentionnellement cet exposé par la représentation de "Narcisse". Nous allons voir que ce principe de "réflexion" (principe de l'image) peut se conprendre de deux manières diamétralement opposées. L'une allant vers le triomphe de l'ego/centrisme, l'autre vers une méditation constructive et spirituelle qui s'appuie sur des valeurs universelles résumée en ces termes : la fonction ontologique de l'art. ![]() Brève réflexion sur l'art
D'un côté on extirpe quelques réflexions "philosophiques", de l'autre on plane entre "la gratuité" de l'art et un incertain dilettantisme de l'âme et du geste : l'art pour l'art, l'art de la provocation pour la provocation, l'art de la "subtilité de la manière", etc...
Édifier, suppose toutefois d'accepter la fonction ontologique (connaissance de l'Être) de l'art. Nous savons que c'est un sujet qui exaspère parcequ'il implique une "certaine objectivité" et "responsabilité" de l'acte créateur. De plus, qui s'interroge véritablement sur cette fonction ? Certains artistes ont tellement entretenu la confusion par le dicours, que chacun préfère se réfugier derrière de vagues concepts de liberté et de subjectivité pour justifier tout et n'importe quoi. Pour faire comprendre ce que nous voulons dire, nous rappellerons rapidement un épisode de l'histoire de Till Eulenspiegel*, ce fou du roi du moyen âge. * Eulen signifie, hibou et spiegel, miroir
Le célèbre bouffon demanda au roi de faire préparer par les ouvriers un mur immense enduit de chaux qui devrait être masqué par un échaffaudage recouvert d'une tenture : "pour travailler à l'abri des regards indiscrets et protèger les curieux de maléfices qu'ils s'attireraient inévitablement " ajouta-t-il. Des gardes royaux furent même placés devant le chantier. Le roi pour faire preuve de gratitude reçut Till au Château comme convenu. Quotidiennement, après avoir fait ripaille, le bouffon se rendait sur le chantier où il pratiquait, bien dissimulé derrière la tenture, sa discipline favorite : la sièste. Le temps passa et le roi commença à s'impatienter. Till savait toujours comment le rassurer en faisant valoir qu'il soignait particulièrement cette oeuvre somptueuse, il la voulait encore plus belle que tout ce qu'il est possible de concevoir ici-bas.
On peut imaginer la foule immense et colorée des courtisans, le brouhaha des marchands ambulants, les odeurs des grillades et les piaillements des enfants. Le roi, la reine, acclamés par le peuple venu de tous les coins du royaume en ce moment exceptionnel distribuaient des ... petits compliments à droite et à gauche. Puis, quand tout le protocole fut en place, il ordonna au maître des cérémonies de donner l'ordre de l'ouverture des festivités, ne pouvant le faire lui-même ... à cause du protocole. Les orchestres et les chorales entonnèrent les hymnes créés spécialement pour l'évènement. Alors le roi, dans un geste magestueux, c'est à dire un petit signe discret de la paupière gauche, fit dévoiler le chef-d'oeuvre. La tenture s'effaça et la fresque magique apparut dans toute sa splendeur. L'émotion générale fût à son comble, chacun s'exclamait devant cette merveille d'entre les merveilles. Le roi jubilait, roucoulait et redistribua ses petits compliments de tous côtés. Tout à sa joie, il chercha du regard Till pour lui rendre les honneurs cent fois mérités. Mais celui-ci avait disparu. Lorsqu'un petit enfant arriva au pied de la fresque et resta figé, les poings sur les hanches. Puis il dodelina de la tête, se gratta le bout du nez. Un silence envahit l'assistance, l'enfant resta un bon moment tout aussi silencieux devant le mur puis s'écria : "Mais ! il y a rien sur ce mur, il est tout blanc !". La suite est facile à comprendre.
Seule, l'innocence enfantine fut à même de dévoiler la supercherie. Cette histoire pourrait presque se passer de commentaire tant elle colle avec une réalité contemporaine. Cette prémonition d'un art de l'absurde n'émeut pas le moins du monde, certains y puisent même une justification des plus sérieuses à leurs propres absurdités. Actuellement, chez certains et souvent même des "intellectuels", la mauvaise foi se surajoute, car l'idée même d'imaginer avoir été le jouet d'une supercherie crée un blocage mentale. Il n'est pas nécessaire d'être bardé de diplômes en sciences humaines pour savoir, qu'avec un tout petit peu d'expérience, on peut tout justifier ... et aller jusqu'à se convaincre soi-même ! Till avait donné une leçon dont nos sociétés n'ont tiré aucun profit. Cet acte, posé par le fou du roi est, depuis longtemps, isolé de son contexte, vidé de son sens et résumé par l'art contemporain comme le critère suprême de l'acte créateur. Cette leçon vaut bien ... un roman pourtant ... sinon un fromage !
L'art et l'Icône L'Art Sacré, lui, doit normalement se situer sur un tout autre plan et échappe, par nature, aux critères déterminés par la "critique", voir les spécialistes de l'art et même les souverains abusés. Il ne peut y avoir d'Art Sacré envisagé autrement que comme "discipline spirituelle" et le regard profane ne peut en aucun cas en percevoir l'essence. Ceci est valable pour toute "Forme Traditionnelle". Il suffit d'examiner certaines disciplines artistiques du Moyen-Orient et de l'Extrême-Orient pour le comprendre. Comment pouvoir imaginer peindre la même chose toute sa vie si ce n'est sous forme "d'ascèse". C'est la raison pour laquelle la question de l'originalité au sens moderne du terme n'a qu'un intérêt secondaire alors qu'elle devient primordiale si on l'envisage en son sens étymologique : qui se réfère à la source première. Ce ne sont pas les volontés individuelles qui s'expriment dans un Art sacré authentique. L'individualité devient le support intelligible d'une Vérité Révélée. Que cette évidence plaise où non aujourd'hui, elle reste le critère et la nécessité fondamentale de la transmission de la Vraie Connaissance qui est, elle, d'ordre ontologique. Mais nous reviendrons ailleurs sur cette question. Nous ajouterons toutefois une observation : l'actualité, avec la création d'un musée des Arts Premiers, nous l'impose. Ces "oeuvres", dont les générations de peintres contemporains ont prétendu s'inspirer, n'ont rien à voir avec l'idée que l'on peut se faire de l'art de nos jours. Il s'agit de représentations sacrées dont la fonction s'inscrivait dans des Formes Traditionelles particulières. Assimiler ces oeuvres à l'art tel qu'on le conçoit aujourd'hui et s'imaginer (pour l'artiste) se situer dans une certaine continuité est, une fois de plus, l'attestation d'une ignorance, voir d'un désordre mental bien navrant. Nous passerons sur le pillage que constitue ces "réserves mises en musée" puisqu'il y a là comme un automatisme lié à notre sens de supériorité. L'enseignement iconographique et l'étude approfondie de son évolution au cours des temps nous font comprendre comment, dans le christianisme oriental, cet Art Sacré, se maintient fermement jusqu'à nos jours sur sa base spirituelle (malgré les époques de dégénérescence), alors qu'en occident, tournant le dos à son fondement "Traditionnel", l'art jusque dans sa forme religieuse se soumet confusément à la recherche subjective ou exclusivement esthétique. En d'autres termes, quand l'iconographie "Traditionnelle" propose une représentation de la quête spirituelle*, quand ce n'est une représentation de l'Être, sous des formes et des styles différents, l'art occidental depuis la Renaissance s'éloigne progressivement de cette perspective pour s'engager sur le terrain psychique. Reste la justification et le discours autour de l'oeuvre, car l'artiste est ainsi fait qu'il supporte mal l'examen de son oeuvre au regard du simple "BON SENS", d'autant plus quand le seul critère de référence est la "transaction". Ce que nous venons de dire nous amène à préciser un point qui est souvent laissé à l'abandon : la distinction entre le Spirituel et le psychique.
Le plan Spirituel et le plan psychique Pour bien comprendre les différences de plans auxquelles il est fait allusion, il convient avant tout d'affirmer qu'il n'y a pas d'un côté le psychique et de l'autre le Spirituel. On peut figurer ce que nous voulons dire sous la forme d'une ligne verticale qui plonge indéfiniment vers le bas et s'élance indéfiniment vers le haut avec un point (sans dimension) de passage entre le haut et le bas. Tout ce qui se situe sous ce point sera signifié comme "psychique" et au-dessus comme Spirituel. Si on utilise une équivalence au plan de la création, la surface de l'eau correspond au point de passage entre la partie aquatique et la partie aérienne.
Voir notre propos sur l'Icône de la Dormition de la Vierge Marie.
Il n'y a donc pas dualité entre l'un et l'autre plan mais continuité. La dualité n'apparaît que pour celui qui confond l'un et l'autre plan ; dans ce cas cette verticale se sépare en deux directions qui s'opposent inexorablement La continuité, elle, tient à une disposition de l'esprit.
L'ignorance dans laquelle se trouve l'apprenti le situe vers le bas (étant entendu qu'il n'y a rien, dans ce propos, qui puisse avoir un sens péjoratif, il s'agit là de la simple évidence de l'ignorance du métier) à un degré déterminé par l'aptitude réelle et naturelle de l'apprenti. Son apprentissage, s'il est sérieusement accompli, va l'élever de degré en degré jusqu'à la maîtrise. Soulignons qu'étant donné l'indéfinité des degrés à parcourir et que ceux-ci ne sont pas forcément acquis définitivement, il n'appartient pas à l'homme de définir le degré de réalisation de chacun. L'homme étant libre par nature..., magnifiquement libre... et désespérément libre.
Ce que l'on doit dire du point de passage d'un plan à l'autre est qu'il est qualifié "d'immobile", "harmonieux", "équilibré", "paisible", "parfaitement pur", mais aussi "sans dimension"* (sur le plan vertical). *Souvent il est fait allusion aussi à la fine pointe de l'âme en relation avec la pointe et le fil d'une lame qui doit (théoriquement) ne plus avoir de dimension (épaisseur) pour trancher sans déchirer. On peut remarquer que si cette surface est "parfaitement calme" elle devient parfaitement miroitante et reflète ce qui est "en haut". Il y a sans aucun doute une relation immédiate avec certaines prières où l'on demande : « Seigneur apaise mon âme ... », mais aussi avec ce principe vieux comme le monde « Connais-toi toi-même ! » ou sa traduction chrétienne « Aime ton prochain comme toi-même ! ». Pour se mirer et se connaître "en vérité", il n'est plus question d'un miroir extérieur mais "intérieur"*. *Till Eulenspiegel est toujours représenté avec, sur l'épaule un hibou dont on dit qu'il signifie la sagesse et (nous ajouterons l'image de "celui qui voit dans les ténèbres") et un miroir qui lui permet de renvoyer (symboliquement) l'image de l'autre.
Dans ce processus de descente, on ne touche jamais le fond si bien que les actes des individus qui se complaisent dans cette descente peuvent* les conduire à la monstruosité. L'actualité et certaines formes artistiques nous en fournissent de sinistres illustrations. Mais aussi certaines pseudos thérapies qui prétendent soigner l'âme en la contraignant à descendre en aveugle dans les bas-fonds psychiques sans aucune connaissance réelle de ce dont il s'agit.
Léonard de Vinci et les temps modernes
À propos du portrait voici ce qu'il dit dans sa dernière leçon à son Académie de Milan (1499) alors même qu'il ne cesse de prétendre élever son art au spirituel :
Léonard est pour nous un homme à part en ce qu'il exprime avec tant de charme cette déchirure que constitue la "Renaissance". Il veut avec tout son génie inclure dans son art un mode spirituel en s'affranchissant de la connaissance des moines et des prêtres auxquels il fait allusion et, dans sa bouche, il s'agit des "Pères de l'Église". Sa définition du portrait ne peut que confirmer cette tendance vers le psychique bien qu'il s'en défende à maintes reprises : « ... il faut rejeter les accents passionnels ...» (Règle iconographique) «... et former un masque grave et souriant à la fois ... » (affirmation d'une fixation d'ordre psychique). Ces derniers mots nous expliquent mieux qu'un long discours la fascination qu'il exerce depuis si longtemps, mais aussi sa contradiction puisqu'il revient par là même à une réalité d'ordre psychique.
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Cependant le pas est franchi puisqu'à partir du moment où l'on quitte le mode symbolique, pour se confronter aux dédales de l'indéfinité des émotions et de leurs figurations* on ne peut plus se situer au plan spirituel si l'on sait que le mode et l'expression recherchés par l'iconographe sont respectivement la "stylisation" et"l'impassibilité".
Malgré quelques peintres d'exception, tels Rembrandt ou Vermeer dont les portraits continuent à nous émouvoir, la recherche va aller toujours un peu plus vers la forme pour elle-même jusqu'à l'informe chez certains peintres ; le sujet devenant "prétexte". Du reste il est intéressant de remarquer combien Vermeer insiste, plus que tout autre, sur la "FORME PROPRE QUI A SA PROPRE COULEUR ", on pourrait presque dire que la forme qu'elle soit ombre ou lumière a sa propre identité indépendamment ou en plus du sujet représenté. Même si nous admirons et respectons ces oeuvres, il n'en demeure pas moins qu'elle ont quitté le mode symbolique et tournées définitivement le dos au "Sacré", et par voie de conséquence à la fonction ontoloqique de l'art. S'il était besoin d'insister encore sur l'importance de la distinction que nous faisons entre le psychique et le Spirituel, nous dirions volontiers qu'il n'est pas suffisant de dire "j'exprime le spirituel dans mon art ! " pour qu'il en soit ainsi.*
L'Icône et le "Spirituel dans l'Art"
Mais cela n'est rendu possible que par l'origine et le mode d'expression iconographique qui synthétisent la "Volonté Divine manifestée en toute sa Création". De ce point de vue, il n'y a rien qui puisse mieux exprimer cette origine et cette Volonté que la "SAINTE FACE" dite "IMAGE NON FAITE DE MAIN D'HOMME" (voir l'histoire de la Sainte Face)
L'Art de l'Icône bien que spirituel par nature, non seulement n'exclut pas le psychique mais l'intègre en l'ordonnant, l'harmonisant, le pacifiant. Pour utiliser les termes de métiers, on dira : "une place pour chaque chose et chaque chose a (ou à) sa place". Si on examine l'image du cavalier, par exemple l'Icône de Saint Martin, nous dirons ceci : la nature animal (anima : âme-psyché) de l'homme est le cheval qui doit être dompté, dressé. Le cavalier qui a dressé convenablement sa monture peut lui poser tout le harnachement : mors, bride, rennes, selle, étriers. L'animal pacifié devient le véhicule qui lui permet de cheminer et d'aller plus loin. La nature animal n'est pas éliminée ou réduite, mais maîtrisée, transformée ou transfigurée. L'exemple du dressage atteste de la part qui est faite au psychique et c'est d'autant plus important de faire cette remarque que la voie Chrétienne et son Art Sacré, dans sa spécificité orientale (ou Romane), loin de nier le "corps physique" et le "corps psychique" prend appui en quelque sorte sur cette "donnée" (notre nature humaine) la transforme avec "maîtrise" (transfigure) de la même manière que la nature transforme la matière dite "vile" en or.
Il est facile d'imaginer une oeuvre contemporaine fondée uniquement sur ces éléments isolés de leur contexte. La place accordée alors au psychique devient exclusive et tout est possible puisque d'une certaine manière, le geste et son rythme peuvent devenir le seul pôle d'intérêt et de recherche du peintre. Or pour nous, la parole de sagesse prévaut lorsqu'elle nous dit : « Tout est possible, mais tout n'est pas profitable ! ».
L'anonymat de l'iconographe et l'identité du peintre
Ce qui peut sembler contraignant ou réducteur à la sensibilité contemporaine est tout le contraire pour l'iconographe et le champ de découvertes sans fin qui s'ouvre à lui ne peut se comprendre que par la "pratique". S'il n'y a pas d'interdiction absolue d'innover, le maître dira : « Qui es-tu pour prétendre réécrire les Saintes Ecritures ? ». Les anciens disaient qu'ils "écrivaient" une Icône (et non pas "peignaient")
Nous avons déjà dit que cette démarche s'inverse à la Renaissance. Dans un premier temps, la signature correspond à un atelier auquel le "Maître" donne son nom ; on peut penser aussi bien à Léonard de Vinci qu'à Albrecht Dürer. À l'époque moderne et contemporaine, la signature devient le critère incontournable du statut individuel de l'artiste. De le dire aujourd'hui peut paraître puéril, mais ce qui l'est moins c'est de constater que l'authentification ou l'intérêt d'une oeuvre passe obligatoirement par la signature. Ce qui donne le champ libre à toutes les spéculations sur les copies, les faux etc... et une nouvelle forme d'idolâtrie.
L'art Sacré Il faut dire que nous vivons dans une époque bien étrange où il peut paraître tout à fait normal de se conformer et respecter sans sourciller des disciplines extrêmes-orientales très édulcorées quand elle ne sont pas tout simplement falsifiées et détachées de leurs Traditions, alors que des disciplines authentiques issues du Christianisme vont prêter à discussion ou préjugés. Même si l'on sait que nul n'est prophète en son pays, on peut tout de même s'interroger sur l'extraordinaire faculté qu'a l'occidental (on peut malheureusement de nos jours ranger dans cette dénomination d'occidental, de plus en plus d'orientaux qui rêvent du "rêve américain") à idolâtrer ce qu'il ne comprend pas ou comprend à l'envers ce qui revient au même.
Quant à se demander comment exprimer ou définir le Sacré, il suffit de citer l'homme sage qui dit :
L'homme sage conclut : « nous disons dans la "nature des choses" intentionnellement, pour faire entendre que tout ce qui est fait "naturellement" peut être sacré ou profane selon notre degré de connaissance, mais tout ce qui n'est pas fait "naturellement" est essentiellement et irrévocablement profane ». et cet homme-là était Indou.
Ce n'est pas le hasard si elle est considérée comme le prototype de la "Représentation" chrétienne. ![]() On peut alors mieux comprendre ce texte de Saint Paul lorsqu'il écrit : "... Et nous tous qui, à visage découvert, réfléchissons comme en un miroir la Gloire du Seigneur, nous sommes transformé en cette même image, allant de Gloire en Gloire comme de par le Seigneur qui est Esprit ...". Exprimer la Vérité aujourd'hui constitue un engagement et un devoir autrement difficiles à tenir que de l'accommoder à notre propre "sauce" parce qu'Elle risque toujours de mettre en évidence notre propre indigence. Mais c'est pourtant le premier devoir de l'iconographe et ce devrait être celui de tout homme (ou femme, bien entendu).
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